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10 juin 2008, par les amis de Gomponsom
En 2008, plus d’une centaine de filles fréquentent la classe de CP des quatre centres para-scolaires de la région de Gomponsom.
Nous savons tous que la situation au Burkina Faso, comme dans de nombreux pays en développement, est tendue. Les cours des produits alimentaires et de première nécessité rendent la vie difficile, en particulier dans les villes. Des émeutes de la faim ont éclaté dans plusieurs villes (Bobo Dioulasso, Ouahigouya, ...). Et c’est avec impuissance que nous assistons à ce (...)
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6 juin 2008, par les amis de Gomponsom
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16 mars 2008, par Bernard Maestrali
Murianette : un petit village au grand cœur
L’association "Les amis de Gomponsom" et la municipalité ont accueilli une délégation du village du Burkina Faso.
Au Nord-Ouest de Ouagadougou, dans la province du Passoré, Gomponsom regroupe 15 villages de paysans Mossis, l’ethnie majoritaire du Burkina Faso. C’est Monsieur Yves Le Balle , un Murianettois professeur d’économie rurale du développement à l’université de Grenoble, qui tisse les premiers liens avec Gomponsom. Dans les années quatre-vingt, il (...)
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13 mars 2008, par Bernard Maestrali
C’était le 13 janvier, ils arrivaient directement de leur pays, à une température moyenne de 40°C, et ils ont pu tester devant chez nous cette matière étrange et inconnue...
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1er mars 2008, par les amis de Gomponsom
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1er mars 2008, par les amis de Gomponsom
Après un périple d’une dizaine de jours à travers le Burkina Faso passant par Nazinga, Bobo, et Banfora nous étions immergés dans cette nouvelle culture très ouverte d’esprit pour débuter notre stage à Gomponsom. Thomas l’infirmier major nous a pris sous ses ailes pour nous initier à son quotidien. C’est un homme courageux, disponible avec un savoir faire impressionnant et il est doté d’une extrême gentillesse. Nous avons traversé un petit bout de chemin ensemble qui a été tellement formateur et (...)
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1er mars 2008, par les amis de Gomponsom
Accueillis par le grand froid, c’était notre première surprise. On a récupéré nos bagages. Heureusement Bernard nous attendait. On a pris l’autoroute. La vitesse était’ elle aussi’ surprenante. Quelques heures plus tard, nous étions dans les montagnes, on voyait ce blanc. C’était de la neige. Arrivés chez Bernard et Isabelle, nos pieds étaient sur la neige, c’était la première fois, en regardant on ne s’imaginait pas ce que c’était. Nous avons pu toucher la neige.
On a eu un bon accueil. On s’est reposé, (...)